La Fête Est Finie

Parler de jalousie de l’envie et de la haine, entraîne sur des voies impénétrables et, quand on n'est pas soi-même sujet à ces sentiments lamentables, on est un peu perplexe.

Que dire quand on les subit !

On essaie de ne pas sombrer dans les mêmes travers. On a répondu en envoyant de l'amour, et du pardon...

On nous renvoie à nouveau de la haine, témoin de la férocité humaine. La haine est exterminatrice, c'est une lutte à mort, on le sent bien.C'est un déchainement des pires pulsions, un déni de l'autre, ils ne supportent pas le simple fait que nous existions quelque part, et que l'on puisse couler des jours paisibles !

En ce qui me concerne, je ne les hais point, les détester me suffit.

La haine se pare de froideur, d’insensibilité, de politesse, de bonnes manières, la teneur en haine des messages reçus est au zénith donc... J'ai rarement lu un message autant dénué d'émotion et de sentiment.

Ce type est un monstre d'égocentrisme et de narcissisme. J'ai d'ailleurs trouvé ses comptes insta et tiktok et c'est un déversoir d'autosatisfaction ! Sa mère l'a placé il y a longtemps sur un piedestal, ne proclamait-elle pas d'ailleurs, qu'elle s'était fait un bébé pour ELLE (et elle a demandé le divorce deux ans après !)

On reconnait la patte du Chef d'Orchestre derrière, et sa jalousie inextinguible ! Tant d'année d'aliénation parentale ! 

Le Professeur Gardner, qui est à l’origine de cette notion, la définit comme « un processus qui consiste à programmer un enfant pour qu’il haïsse un de ses parents, sans que ce ne soit justifié. Lorsque le symptôme est présent, l’enfant apporte sa propre contribution à la campagne de dénigrement du parent aliéné. ». On a là un bon élève...( je vous recommande cette page :  Le syndrome d'aliénation parentale )

Non contente d'avoir entrainé les ainés dans ses obsessions sectaires jusqu'à en faire des handicapés de la vie et des buses intellectuelles, elle s'est emparé de l'esprit du dernier pour en faire une arme de destruction de notre vie ! 

Bien sûr, lui  prétend que personne ne l’a influencé, il se considère comme « penseur indépendant » et va jusqu'à inventer des griefs et des situations ! 

On nage dans le surréalisme le plus absolu, aucun dialogue n'a jamais été possible, avec aucun des enfants ni avec la mère qui jure la main sur le coeur n'avoir rien dit, rien fait ! 

Cette femme voulait divorcer pour être libre, mais ne sait que nourrir une haine et une irritation entretenues par le désir de possession de biens (matériels ou immatériels) que d'autres détiennent; désir pour soi, du bien ou du bonheur d'autrui. 

Elle n'a pas permis aux enfants d’avoir des communications normales avec leur père. Elle écoutait les conversations téléphoniques ou empêchait les enfants de lui parler au tel, cachait  le courrier et leur interdisait de parler de leur vie avec elle chez nous. Jamais mon mari n'a pu avoir des informations sur les enfants,  pas de carnet de notes, elle ne l’informait ni sur les activités ni sur la santé. Elle l'avait réduit à l'état de chéquier. 

En le quittant, elle voulait garder le pouvoir sur lui, sur son temps. Elle imposait SON emploi du temps, choississait des week-ends de garde, des vacances, et se permettant de changer la donne au dernier moment, le père devant être à disposition.

Elle s'est persuadée que j'étais riche parce que j'avais une maison et qu'elle habitait en HLM. La première fois que les enfants sont venus chez moi, elle leur avait tellement monté la tête que ma belle fille m'a dit : "Tout ce qui est ici est pour moitié à mon père..." Chaque fois qu'ils venaient ils cassaient quelque chose, et la grande question quand un nouvel objet apparaissait à la maison c'était : "combien ça a coûté, qui l'a payé ?" Entre les "mes parents sont mariés devant dieu pour l'éternité", "tu ne peux pas aimer la Bretagne c'est le pays de ma mère",  "Je vais t'empoisonner et mettre de la mort aux rats dans ta nourriture", et tant d'autres couleuvres avalées, la malveillance de Mme Ex était partout, dans chaque comportement et parole de sa progéniture. 

Elle a monté ses TROIS enfants, et ses propres soeurs contre lui. Et lui, par lassitude et désir de ne pas mettre d'huile sur le feu, a baissé les bras, renoncé. Peut-être eut-il fallu lancer une vraie guerre, faire constater par huissier, saisir le juge aux affaires familiales... Mais ce n'est pas le genre de mon mari, son genre c'est arrondir les angles !

La guerre ça va être maintenant. Il sera dit que notre fin de vie de sera pas sereine !